Géométrie Covidienne... ( 24 avril 2021 - 107 km)
La quadrature du cercle nous concerne tous... |
En ce samedi 24 avril 2021, nous sommes particulièrement gouvernés
par le temps et les distances.
Quels sont mes degrés de liberté dans cet
espace temps ? [6h ; 19h] et [0; 10 Km]...
Est-il possible d'optimiser ces
intervalles, de les rendre sympathiques et vivables ? On a déjà vu que l'espace
s'il augmente permet de mieux apprécier le temps et pas forcément vice et versa. Mon voyage en Baronnies la
démontré. Il est possible de se mouvoir de façon satisfaisante si l'espace est
supposé (presque) infini.
Mon arrivée au bivouac le soir n'était donc pas
une souffrance, loin de là, je pouvais m'allonger dans le bartasse Provençal
avec la satisfaction d'une journée bien remplie.
La nouvelle géométrie Covidienne propose désormais 10 Km de rayon. Comment résoudre cette quadrature de liberté relative ? La géométrie nous enseigne que si je fais le tour de la prison, j'ai à disposition 2 fois pi fois le rayon, soit 62,8 Km et des poussières de clôture... Intéressant. Surtout que si je rejoins les miradors, je vais ajouter du bornage. L'idéal d'homologation, défini par la géométrie Loiselienne (qui possède quelques chapelles) étant de 100 Km, il ne devrait pas y avoir affrontement sur les théories, axiomes et tout le reste...
On devrait pouvoir continuer à fonctionner sans avoir besoin de
relativiser. Surtout que dans une cercle parfait on peut définir une distance
infinie de mouvement même avec l'objectif de ne jamais recroiser sa route. Avec
le cadastre et les voiries il faudra
quand même oublier cette idée, surtout si on veut revenir au centre.
Bref dans ce cercle toujours parfait de
rayon 10 km défini par les géomètres garagistes politiques, je vais pouvoir
" en tournicotant" (une autre façon de trouver en science
fondamentale) faire 107 km sans sortir du cercle, toujours sur trajectoire
nouvelle et en revenant au centre.
Quelle satisfaction ! Souvenons nous que, la fameuse limite des 1 km de rayon, prônée par les experts (spécialistes de l'invérifiable) en 2020, avait alors complètement anéanti l'enthousiasme des chercheurs épris de liberté.
Ce qui est le plus gênant, je vais vous
le dire sur ce parcours scientifique. C'est que, égaré dans le fameux
nuage (cloud) du mouvement de recherche pour revenir à la case départ donc pour aller de A à A (ce qui
n'est pas banal dans l'exercice), le plus horrible c'est : que les bistrots
étaient fermés !!!
Pour cela, en vieux briscard, écoutant
peut-être la voix des anciens qui s'adaptaient toujours ou pas, j'ai pris mon
thermos et bu mon café sur la terrasse du café de Vacquières (Mastroquet).
Un café une homologation. Rien n'a
changé. "J'étais bien" (expression simple et délicieuse).
A la santé donc des sciences fondamentale et de
la statistique du mouvement (sous-science politique interprétée très librement) !
Surtout : A l'optimisation des libertés
en milieu hostile et contraint !
Un café avec un petit peu de sucre... Pour éliminer cette amertume non maîtrisée, du chercheur encerclé... |