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Affichage des articles du décembre, 2020

Limité à 110 ?...

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  Encore une infraction de ma part... C'était pourtant limité à 110, et même beaucoup moins... Le radar m'a flashé à 111 en 2020... 1 ) La notion de limites : Le Château de Montferrand   (sur la crête de Pic St Loup)  est sous mes yeux depuis mon enfance, même si je me revendique plutôt des origines paysagères Provençales (étant né à Aix). La Provence ce sont ces villages illuminés la nuit, ces légendes de Pagnol, cette terre de sentiments partagés, les treize desserts (bien réels), les treize cépages aussi de l'AOP Chateauneuf du Pape (une vraie légende mais si c'est pour une oeuvre...), les Noëls authentiques, les tonnelles avec ces cafés à l'ombre où l'on écoute et on parle sans que le temps ne puisse intervenir. Des saisons déclinées lentement. Une terre de refuge surtout au final (René Barjavel-Jean Giono). Revenons à ce monument totalement en ruine (pillés par des villageois révolutionnaires j'imagine, les "gilets jaunes" de l'époque).

Clair de Terre en Queyras...

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  La terre et son passé vue des sommets rocailleux du Queyras désertiques et inhospitaliers... Lorsque j'établis un bivouac, il faut toujours  que je pense  à la lune. Le clair de Lune est le premier ennemi de l'aventurier .   En position statique, endormi et souvent profondément, ce dernier est vulnérable vis à vis d'un prédateur, j'ai nommé, l'homme... Il n'y a pas d'autres prédateurs que l'homme et s'il vous voit et qu'il fait nuit, il va vous braquer. Il ne sait pas trop pourquoi, c'est comme ça. L'homme est un loup Garou. Et comme dit Audiard : "il y a des statistiques là dessus". En ce qui concerne les animaux sauvages, souvent prédateurs nocturnes, sous nos contrées, ils ne s'intéressent jamais à vous. Donc aucun problème. Je n'ai jamais compris qu'on puisse s'en inquiéter. Les sangliers et autres renards sont souvent venus dans le nuit me faire des petits coucous et puis voilà. Au moindre mouvement ça

Retour à Ceillac...

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  Nous devions être en 1976. Je suis parti, l'été, dans un autorail étonnant qui coupait le moteur dans les descentes,  vivre une "espèce" de colonie militaire à Montdauphin (près Guillestre). A l'époque, et c'était très normal,   les enfants partaient l'été,   dans des casernes, encadrés par des militaires. J'imagine que c'était pas cher et puis bien "serrés à la dure", que du très bénéfique pour    " le nécessaire dressage".   Pas de problèmes pour les parents (les soucis c'est autre chose). Pratique aussi, on "largue la tribu", la meute de chiens fous   l'été et... on est tranquille. Pour faire quoi d'ailleurs ? C'est un autre sujet. Donc,   la SPA humaine si vous voulez. On récupère fin d'été,  les colis et ensuite   hop !   En pension et chez les scouts. Et c'est reparti. Une conception" fin de siècle" de l'élevage. Je me suis bien habitué à ces solitudes des départs puisque m

Et pourquoi pas l'Oisans ?

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  1) Des nouvelles du Réseau ... Mais qui connait Abel Lequien ? Abel le qui ? Lequien... Quien es ABEL?   C'est normal que vous ne le connaissiez pas. Pour connaitre notre homme il faut être d'un réseau... Il y a des réseaux partout même et surtout dans le bénévolat, les loisirs, le gratuit. Moi je pensais, à un moment de ma vie, qu'un réseau c'était utile pour gagner du pognon. On faisait un groupe pour gagner mieux sa vie et tant pis pour ceux qui n'en sont pas. On va d'ailleurs les faire payer les exclus, c'est la règle, c'est franc, net. Comme ça, à vrai dire, c'est séduisant.   Non, non, pas du tout ou pas toujours. On créait un réseau pour éliminer tout ce qui ne vous ressemble pas en terme de pratiques et d'idées. On créait un réseau pour imiter ou prolonger ce réseau professionnel qui nous a fait gagner (ou pas d'ailleurs) de la carrière et de l'indice, parfois en étant "border line" en terme d'humanité