D'Agonès à Cambo... Toujours s'écarter du chemin... (03 Février 2024-108 km)
Il n'est aucun salut pour un corps allongé sur un canapé...! En même temps je n'en suis pas si certain. Jules Verne aurait écrit ses voyages extraordinaires sans être jamais vraiment sorti de chez lui à part pour aller acheter quelques œufs au marché... C'est exagéré. Il ne faut pas exagérer. J'ai souvent parlé de la dualité du cycliste, mettant en avant les caractères du sportif pur qui tourne en rond autour d'un col de la Cardonille ou met du braquet dans le faux plat montant de Carnas (presque en descente), les yeux rivés sur le wattmètre (je croyais d'ailleurs que c'était réservé aux physiciens et électriciens) et le voeux partagé qu'on d'autres dits "sportifs" aussi, de s'éloigner du corps et de la machine pour découvrir à minima l'infini et au delà... Lorsque je roule sous le soleil, surtout en automne (pour les couleurs) et en février (pour le froid supposé des montagnes que j'espère toujours depuis si longtemps), je su